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 Fifty shades of Fumiko

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Tetsuya Fumiko

Civil
Tetsuya Fumiko
Date d'inscription : 08/07/2017

Messages : 20

Métier : PDG / Gérante

DC : Yun Jung-Hwa


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MessageSujet: Fifty shades of Fumiko   Fifty shades of Fumiko EmptySam 8 Juil - 15:27

L’argent n’a pas d’odeur, mais toi, chaton… Je te sens à des kilomètres !...
  • Tetsuya
  • Fumiko
  • Patronne, boss, la femme aux chatons
  • PDG et gérante
  • 43 ans
  • Pansexuelle
  • Mode et haute couture

Situation financière

Aisée qui pourrait être très riche, néanmoins, ses nombreuses opérations et maintenances corporelles lui coûtent beaucoup d’argent depuis une dizaine d’années. Elle n’est cependant pas dans le besoin, c’est certain.

Situation familiale

Célibataire et sans enfants.

Description physique

Fumiko est jolie, très jolie. Quarante-trois ans ? Non, vous lui en donnez à peine une vingtaine. Merci la chirurgie esthétique et les augmentations physiques, bisous et paillettes sur vous. Le visage de la femme est fin et rond, sa peau parfaite et pâle sans être cadavérique. Ses yeux en amandes brillent d’un violine profond et lumineux, tandis que ses lèvres, oh ses lèvres, si délicates, légèrement rosées, ont l’air si tendres… Son front dégagé allonge son visage et la demoiselle est fine, très fine, mais de petite taille. Il n’y aucune graisse sur ce corps qu’elle a sculpté comme un rêve : son ventre a la forme arrondie parfaite, et ses seins sont de taille idéale : celle qui permet de les tenir chacun dans chaque main. Son regard brille avec malice, accentué par des sourcils épilés bien trop souvent froncés. Mais les rides ne sont pas son souci, c’est sûr… Des cheveux mauves trop longs pour être vrais s’attachent en hautes couettes partant sur l’arrière du crâne. Ils descendent jusqu’à ses genoux, leurs pointes ondulant joyeusement autour de son corps. De jolies extensions sont ici le secret d’une chevelure si merveilleuse, mais shhh… Sinon, ce ne serait plus un secret.

Pour autant, ce corps si parfait d’après les standards dictés par les médias et le marketing d’entreprises fortunées s’habille d’étrange manière pour la population normale. Fumiko a un goût prononcé pour la haute couture, ou tout du moins, celle qui lui est accessible. Chacun de ses vêtements, bijoux et même ses accessoires de coiffure sont extravagants et avant-gardistes ; et si cela doit la forcer à se dévêtir, alors soit ! Cela ne mettra que plus en valeur son magnifique corps aux malheureux qui n’oseront jamais l’approcher. Même ses vêtements les plus discrets sont colorés ; il est difficile de ne pas voir la demoiselle peu importe où elle se trouve. Dans tous les cas, si elle ne porte pas de décolleté, cela ne peut dire qu’une chose : ce n’est pas elle. Jamais. Ô grand jamais. Zéro degré dehors ? Le pull aura une ouverture sur le haut de la poitrine, et c’est tout.


Description psychologique

Inutile de préciser que la demoiselle ne supporte pas son âge réel, n’est-ce pas ? Cette dame n’a jamais voulu vieillir, et même dans sa tête, elle n’a rien d’une quadragénaire si ce n’est la sagesse et l’expérience. Fumiko est toujours joyeuse : elle chantonne, elle s’exclame, elle plaisante et rigole. Bien évidemment, avec ce beau corps 100% non naturel se dote un caractère égocentrique. La demoiselle ne manque pas de confiance en elle, on ne peut pas le nier. Ses goûts sont les meilleurs, par ailleurs elle aime frimer de ses dernières découvertes et tendances parce qu’elle est so in. En revanche, elle ne fera jamais de jugement de valeurs ; pas à l’oral en tout cas. Même si elle peut estimer ses avis supérieurs, elle acceptera toujours de se remettre en question et vous écoutera. Son regard est empli de malice, tout autant que ses mots mielleux qui vous appâteront dans ses toiles. Car il n’y a rien d’innocent dans ses approches : tout est donnant donnant, avec elle. Pour chaque minute qu’elle vous accordera elle en exigera une autre en retour, pour chaque service rendu elle vous en demandera la pareille. Eh, on ne fait pas fortune sur la charité.

Pourtant, la dame est bien plus charitable qu’elle n’en a l’air. Si vous lui renvoyez une image pitoyable, elle tentera de vous aider ; ses plus misérables entreprises sont des refuges pour gens paumés, qui comme des chatons abandonnés lui ont fait battre son petit coeur. Elle est compliquée, parfois sévère, mais a un coeur énorme pour ceux qui le méritent. Sa confiance, tout comme sa loyauté, est difficile à obtenir mais définitive. En cela, elle est un peu naïve.

De par son allure et son caractère, Fumiko est souvent jugée comme inaccessible, abordée seulement pas les poivrots ou les fripouilles malhonnêtes ; et encore. Pourtant, la demoiselle a des vertues plutôt… légères. Il ne vous sera pas difficile de soulever sa jupe tant que vous lui avez demandé sa permission. N’oubliez pas ce dernier point, il est très important : la japonaise est ceinture noire d’Aïkido, et ses bras modifiés, donc ne plaisantez pas trop avec son corps à moins d’y être préparé. Fumiko, balayeuse officielle d’alcooliques depuis dix générations.


Signes particuliers

Derrière ce corps dénué d’imperfection se cachent bon nombre d’opérations chirurgicales mais aussi des augmentations imperceptibles à l’oeil nu… Par exemple, l’ossature de ses bras sont en métal, ce qui lui confère une grande force comparée à sa taille et son ossature. Cela la fait peser plus lourd aussi, et vous seriez surpris en tentant de la soulever. Ses yeux ont été augmentés également : elle est nyctalope et peut filmer ou prendre en photo ce qu’elle voit ; mais c’est à peu près les seules fonctions qu’elle possède sur ses globes oculaires.

Histoire

Les rizières qui s’étendent à perte de vue sous les rayons du soleil levant. Les écolières à vélo qui discutent et ricanent le long des bords de route au milieu des montagnes. Le vent fait murmurer les forêts qui s’étendent des falaises jusqu’aux champs. Sa grand mère lui avait conté tellement de fois, Fumiko en faisait des cauchemars. Oui, des cauchemars. Car quand on est née et qu’on a grandi à SIA en s’appelant Tetsuya Fumiko, chaque chose qui rappelle le Japon est un enfer, une raison de plus d’être coupable d’un rien injuste. Ce n’était pas qu’elle n’était pas fière de ses origines pourtant, mais elle les craignait, et pour cause.
La demoiselle se rappelle très bien des frayeurs et des stupeurs lorsque ses grands-parents lui apprenaient en cachette leur langue natale, ou encore lorsque son grand-père, ancien maître d’Aïkido, lui apprenait cet art martial dans leur vieux salon aux murs craquelants. Ils auraient pu avoir de sérieux problèmes, et même enfant, Fumiko en avait clairement conscience.

Difficile en même temps d’être éloignée de cette réalité en allant dans une école Néo-coréenne quotidiennement. Brimée depuis le jardin d’enfants, tant par ses camarades que par leurs parents, Fumiko a dû très tôt se forger une carapace et un caractère d’acier pour survivre. Et elle y parvint très bien : plus rien ne lui faisait peur. Elle était tant traînée dans la boue qu’elle pouvait s’y jeter et se relever aussitôt ; la jeune fille était une combattante depuis le début. Elle ne craignait pas les représailles des élèves lorsqu’elle leur raflait la première place aux évaluations, elle ne craignait pas non plus les insultes lorsqu’elle s’exprimait devant un professeur, et n’avait sûrement pas peur des brutes qui lui cherchaient des noises, à elle ou à d’autres enfants. Justicière dans l’âme, déterminée, elle ne laisserait aucun obstacle entraver son chemin.

La réalité n’était pas si simple, malheureusement.
Lorsqu’elle entra au lycée, elle se vit refuser une bourse de mérite. Pas officiellement bien sûr, mais son dossier était toujours incomplet, perdu, oublié. Elle comprit parfaitement qu’il lui serait difficile de compter sur l’Etat pour l’aider à financer ses études : aussi commença-t-elle à se prostituer. Elle se rendit compte qu’il était plus facile de survivre dans le secteur sexuel avec ses origines que nul part ailleurs, et trouva cela très injuste ; elle se promit de ne pas y faire carrière. Elle en profita tout de même, économisant son argent pour son avenir. Vendre son corps ne la gênait pas le moins du monde, tout à fait à l’aise avec son physique et ne rentrant jamais dans une relation non consentie. Cela se savait et les regards dégoûtés ne la gênait pas plus que les chuchotements admiratifs des opprimés qui la respectait.
Ses petites économies ne suffirent cependant pas à la faire entrer dans une école réputée malgré ses bonnes notes : là encore, on lui mit des bâtons dans les roues sur ses dossiers et inscriptions. Fumiko se rabattit sur le moins pire de ses choix et étudia avec ferveur dans une faculté remplie de cas sociaux et opprimés.

Sa famille la supportait dans son périple, bien que sa mère n’y croyait pas. Elle-même discriminée depuis son arrivée en Nouvelle-Corée, elle craignait qu’un jour sa fille, symbole de son espoir, ne tombe de haut et finisse comme elle, à trimer toute la journée jusqu’à la fin de ses jours.
Fumiko ne connaissait pas son père, et n’avait jamais réussi à savoir qui il était. Elle n’avait qu’un vague souvenir de lui, avant qu’il ne parte lorsqu’elle avait quatre ans. Ses grands-parents l’avaient élevée soigneusement, tout comme sa mère qui travaillait du matin au soir pour subvenir à leurs besoins. Cet amour l’avait portée jusque là où elle était, et lui permettait de mener son combat quotidien. A présent, elle était totalement comme un poisson dans l’eau à SIA, totalement acclimatée à ce milieu hostile et prête en toutes circonstances à se défendre.

Et elle allait avoir besoin de se battre, encore et toujours. Une fois diplômée, sans aucune difficulté, Fumiko se heurta de nouveau à l’administration de la ville. Son projet était d’ouvrir des bains publics, et pourquoi pas une petite auberge, attendrie par la nostalgie de sa grand-mère. Bien sûr, aucune banque ne voulait la financer et prendre le risque d’élever un projet trop « japonais » à leur goût, juste parce qu’elle était japonaise. Malgré des mois et des mois de batailles, la jeune fille ne parvint pas à se faire entendre, et il ui fut impossible de lancer un business sans fonds. Pour autant elle ne baissa pas les bras et se tourna vers les kkangpae. Un camarade de lycée les avait rejoint, aussi avait-elle réussi à le recontacter et mettre un premier pas dans ce milieu. Elle ne voulait pas se mouiller cependant : elle resta très prudente.

« Je peux ouvrir un Soapland, si vous me trouvez les locaux.
- Et pourquoi est-ce que je ferais ça pour vous, plutôt qu’un autre ?
- Parce que vous ne trouverez pas meilleur que moi. Bien sûr, vous pouvez mettre un de vos sous-fifres sur le coup, ou embrigader un père de famille faiblard qui roulera son dos et mettra sa queue entre les jambes pour faire survivre sa famille. Mais moi… Moi, non seulement je vais faire exploser les ventes de votre business, mais en plus, je serai une partenaire de choix. Vous me trouvez des locaux et les aménagez, je vous paie un loyer, et je vous donne la moitié de ma marge brute. La moitié, peu importe son montant. »

Son sourire était confiant, ses yeux brillaient de fourberie. Pourtant, son coeur battait à une vitesse incroyable, et les paumes de ses mains étaient moites : il pouvait très bien la finir ici, et personne ne l’aurait jamais su. Néanmoins, son audace et sa beauté - il ne faut pas le nier - firent pencher la balance en sa faveur et en quelques mois, son commerce était lancé. Sa première entreprise ! Elle était si fière. Surtout, elle ne comptait pas s’arrêter ici. Elle voulait en ouvrir d’autres.
Comme elle l’avait promis, son établissement devint l’un des plus rentables du réseau kkangpae. Elle ne faisait pas partie de leur mafia, cependant ; elle était plutôt une partenaire un peu pénible qui acceptait des gens louches en propriétaires et actionnaires. Fumiko sélectionnait elle-même tous ses employés et refusait que l’un d’entre se prostitue contre son gré. Ses valeurs et sa confiance en elle en faisait une patronne respectée.

Rapidement, la japonaise se rendit compte du potentiel de son commerce sur d’autres aspects : l’information. De nombreux clients, aux origines et casiers variés, venaient se détendre dans son établissement. Aussi, elle commença à revendre des informations, certaines valant beaucoup d’or. Elle devint un contact connu des souterrains et amassa petit à petit une fortune qui lui permit de lancer son deuxième business : un hôtel un peu miteux. Eh oui, difficile d’obtenir de beaux locaux quand on est japonaise, encore une fois. Elle transforma cependant le lieux en un endroit formidable et chaleureux, localisé en plein coeur d’Itaewon, le quartier international et touristique de SIA. Néanmoins, dorénavant, ce n’était pas juste pour du commerce que Fumiko ouvrait une nouvelle entreprise, mais bien pour son réseau d’information qu’elle comptait étendre.
Son hôtel devint très populaire et fonctionna du tonnerre : les affaires n’avaient jamais été aussi bonnes. Il devint également un repère pour « chatons perdus », comme elle aimait l’appeler. Grâce à son porte monnaie aisé, Fumiko put se permettre de prendre des gens dans le besoin sous son aile. Parfois des fripouilles souhaitant se racheter, d’autres fois des gens sans toit malmenés par la société. Dans tout Incheon, elle était surnommée « Saekki goyang-i yeoja », la femme aux chatons, et aucun résident un temps soit peu louche n’ignorait son nom. C’est d’ailleurs ainsi qu’elle fit la rencontre de l’un de ses plus fidèles alliés : une lieutenante néo-coréenne qu’elle surnommait « Kkwang » une contraction de « kkwae yeolmang », jolie empressée. Fumiko ne sut jamais si en tant que membre du gouvernement, Kkwang était venue enquêter pour vérifier son potentiel danger. En tous les cas, elle s’était présentée comme étant en quête d’informations, au bar de ce petit hôtel populaire.

« Je cherche quelqu’un.
- Cela va te coûter un peu d’argent, chaton. »

Fumiko attrapa un verre vide dans lequel elle versa du lait de soja, puis quelques sirops. Elle mit bien évidence chacun de ses ingrédients devant la militaire pour ne pas éveiller de soupçon sur le contenu du verre, puis le tendit vers elle.

« C’est sans alcool ?
- Toute information se paie, chérie. Tu veux vraiment savoir ? »

Elle ricana et de cette plaisanterie naquit peu à peu une amitié. Et plus si affinité, mais il était bien difficile de connaître Fumiko intimement sans l’avoir mise dans son lit au moins une fois. Sa Kkwang adorée devint très vite une guardienne, un élément inestimable dans son réseau, la militaire lui servant de protectrice mais aussi de contact précieux pour revendre ses services au gouvernement en tant qu’informatrice fiable et inoffensive.

Très vite, la japonaise pu faire de son hôtel une chaîne : au fil des années, elle en ouvrit un peu partout en Nouvelle-Corée. Son réseau d’information commença ainsi à s’étendre dans tout le pays. L’argent ne lui manqua pas, et Fumiko se fit un plaisir de se complaire de plus en plus dans une opulence modérée, tant en modifiant son corps à tout va pour rester jeune qu’en cherchant à faire de toutes les modes son crédo. Elle fit la connaissance d’une jeune arabe timide en cherchant de nouvelles tenues affriolantes, pour mieux servir son caractère extravagant. Cette demoiselle était un nouveau chaton pour lequel la japonaise se prit d’affection : elle lui acheta toutes ses robes une petite fortune et, depuis ce jour, ne s’habille que chez cette demoiselle. Cette haute couture un peu plus accessible que de véritables vêtements de luxe lui permit de se fondre dans le décor lors de soirées mondaines dans lesquelles elle n’était pas invitée - évidemment. Elle se rapprocha des sphères politiques et figures économiques importantes, et étendit toujours un peu plus son réseau de clients, en même temps que ses petites mains s’élargissait sur la Nouvelle-Corée. Fumiko n’avait pourtant aucune prétention malgré son jeu de m’as-tu-vu : elle connaissait parfaitement sa place, et cette humilité dans les plus riches castes de SIA lui permit d’accéder à de solides relations et une clientèle toujours plus opulente.

Gangs, kkangpae, petit commerçant, grand PDG, femme au foyer, bientôt ses cibles furent aussi variées que possible. Elle n’aide personne et vend tout le monde : c’est le deal. Personne n’est à l’abri, et elle non plus : c’est le petit jeu auquel elle s’adonne et tous ses clients dansent avec elle sur cette musique aux sonorités imprudentes.

Son dernier commerce ouvert et connu est le Delerium, un joli bar en Incheon, son arrondissement de prédilection. Pourtant, il est bien difficile de savoir où Fumiko a la main mise : ses entreprises sont plus que nombreuses, sans compter celles qu’elle a racheté en secret. Son corps n’est qu’à un seul endroit à la fois mais ses oreilles sont partout ; gare à vos paroles...


Et toi, qui es-tu ?

X PUF Tentacule (bis)
X Comment avez-vous connu le forum ? Bah ça alors, quelle bonne question !!
X Personnage sur l’avatar Wu Zetian / Fuyajou no Assassin de Fate/Grand Order
X Un petit mot doux ? J'aime pas écrire les histoires, je fais des trucs toupouri.
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Baek Hyun-Ae

RevolTech
Baek Hyun-Ae
Date d'inscription : 28/06/2017

Messages : 111

Métier : Superviseure.

DC : Park Yoon-Bum.


Fifty shades of Fumiko Empty
MessageSujet: Re: Fifty shades of Fumiko   Fifty shades of Fumiko EmptySam 8 Juil - 15:39

Te voilà validé(e) !
Félicitations, te voilà officiellement parmi nous ! Il ne reste que deux trois petites choses à faire :

- Faire recenser ton avatar sur ce topic.
- Créer le journal personnel de ton perso dans ce topic-là.
- Partir à la recherche de rp, dans le topic de demande de rp.
- Créer le Commlink de ton perso sur ce topic selon le modèle, pour envoyer et recevoir des messages !
- Et si tu as envie de flooder et délirer en notre compagnie, le flood général est ici-même, so enjoy !

Ceci dit, nous te souhaitons encore la bienvenue sur le forum, puisses-tu t'y amuser et y rp à foison ! ♥
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