Description physique

Ouh beauté fatale, que fais-tu chez les Yuyong. Quel gâchie.

Tu as sur le visage cet air enfantin, cet air de femme qui n’est pas encore sorti de l’adolescence. Pas de ride, pas de cicatrice… Bon d’accord presque pas.
Ta peau est lisse, douce comme celle d’un nouveau-né.
Cet homme là-bas, il te mate ma puce.

Il regarde le galbe et la finesse de tes jambes, chercher les courbes inexistantes de tes hanches. Pire que tout après ton alléchant ventre plat, il ose chercher du regard la planche à pain qui te sert de poitrine.
Puis il s’en va quand il voit la cicatrice le long de ton cou. Il fuit sous l’horreur de la vérité, sous ta disgrâce.
Tu es encore une enfant à la peau douce, une adulte avec un léger syndrome de Peter Pan.

Tu as le visage encore un peu rond, les joue un peu gonflé tel un nouveau-né. T’es lèvres sont fine, rosée et pâle. Ton né est typé, peut être un peu droit, pas trop écrasé et t’es yeux en amande sont d’un marrons noisettes légèrement dorés.
Le tout accompagné ton teint de porcelaine, ta peau blanche comme l’ivoire.
Ainsi qu’une magnifique et longue chevelure marron.

D’un point de vue vestimentaire qui varie beaucoup. Seule reste ces étranges habitudes : celle de toujours sortir avec une veste à capuche 10 fois trop grande pour toi.
L’autre de traîner en débardeur et petite culotte toute la journée dans ton appartement. Ca met toujours tes gardiens mal à l’aise… Comme c’est étrange. Peut être est ce les tatouages que tu arbores sur les joues. Ses deux petits triangles de chaque côté.

Description psychologique

Jah, tu es cette enfant égarée, cette petite brebis que tous cherchent à dompter. Tu es cette adulte qui refuse de grandir. Cette criminelle avec le coeur sur la main.
T’es parent ne t'ont pas inculqué le bien et le mal. C’était compliqué… Tu as plongé, si profondément dans les abysses qu’il était trop tard pour t’en sortir. Tu ne fais plus la différence… L’as-tu seulement faite un jour.

Ô ma puce. Quel monstre ont-ils osé créer pour que tu deviennes un génie du crime aussi jeune. Une trafiquante à l’audace tenace, une jeune fille qui n’a jamais su faire la différence.
Tu es de ces enfants que l’on considère comme des cas d’école de psychopathie. Incapable d’aimer quelqu’un, manipulateur, négociateur, intelligent. Terriblement intelligent.
Tu es de ces enfants que l’on devrait aimer dès la naissance, ses oisillons qui ne devraient pas tomber du nid… Ça n’a pas été le cas.

Tu es rêveuse, constamment dans la lune et surtout à côté de la plaque. Tu es d’une intelligence rare malgré les soucis que tu rencontres. Ô mon ange comment ne pas voir ton génie, tes qualités ? Toi si douce, toi si gentille.
Tu ne parles pas beaucoup, pourtant les gestes sont là. Tendre et précis, tout pour rappeler ta candeur, ton innocence.

Princesse, tu es peut-être un peu buté aussi, c’est ce qui fait ta force, ce qui fait de toi quelqu’un de dangereux. Le facteur défaite n’existe pas et c’est souvent le souci avec toi. Tu n’arrêteras pas avant d’avoir réussi ce que tu entreprends.
Pour ce fait, tu es rarement en mission au final. Que fais-tu chez les Yuyong…

Tu aimes les plats sucrés, les films, les jeux vidéo et les bonbons. Tu aimes dormir, tu aimes te balader débraillée. Tu aimes ta peluche pingouin… Qui te l’a offerte déjà ? Quelqu’un qui t’était cher, c’est certain
Tu n’aimes pas les aliments salés et pour te faire manger des légumes, c’est une horreur.

En soit Jah, mon ange, tu n’es pas un cadeau, mais tu n’es pas un poison non plus, tu es un être qui a grandi sans amour, un cas d’école de sociopathe.

Signes particuliers

Ca ne se voit pas vraiment mais ça sentant, Jah' à un soucis au niveau des cordes vocals. En effet lorsque le couteau qui lui tranchait la gorge est passé sur ses cordes vocales une d'entre elle à été atteinte. Elle a donc du mal à parlé. Sa voix est comme enrouée, elle ne peut pas crier.
Afin de l'aider elle possède un dispositif sur la gorge. Ce dernier lui permet de parler correctement, sa voix est donc légèrement robotique ou synthétique.
Ca la fatigue beaucoup, de ce fait elle parle en langage des signes dès qu'elle le peu.

En outre, depuis son arrestation ses parents ne sont jamais venu la voir, elle souffre d'un petit trouble de la confiance et ne supporte pas d'être totalement seule... Elle a, tout de même, du mal avec les cellules familiales.

Histoire

Jah-Ne… Que peut-on dire que toi petit fleur de corée. C’est compliqué. Difficile, poétique. Tu es une poupée. Ton teint est de porcelaine d’ivoire dit on même.
Tu étais de ces jeunes filles toujours bien habillées, toujours à la pointe de la mode, toujours chic et élégante.
Et pourtant personne ne savait… Non,personne ne se doutait que sous cette beauté, sous ce sourire d’ange se trouve quelque un esprit brisé.

Quand as-tu quitté le droit chemin ? Quand as-tu déconné… Ah Jah. Il est possible que cette gangrène qui te mange un peu plus chaque jour soit le fruit d’une éducation un peu trop stricte, mais également de parent un peu trop absent.
Tu es né ici, dans un quartier chic de Séoul. Tu étais mignonne, une petite crevette que ta mère refusait déjà d'allaiter. Pourquoi ? Car elle sait. Ton père sait, ton vrai père aussi… Tu n’es pas le fruit de leur amour Jah’ tu es le fruit d’un adultère. Une femme trop stressée qui a osé tromper la couche de son ambassadeur d’époux.

Tu as beau être la chaire de sa chaire. Ta mère ne t’aime pas, tout comme elle n’aimerait pas ce coup d’un soir… Ce Gigolo qui n’a chauffé ses draps qu’une nuit pour ensuite disparaître.
Ça, tu le ressentiras toute ta vie. Bébé déjà, tu n’avais pas le droit de pleurer, encore moins de réclamer la moindre attention maternelle. La nourrice et son instinct maternel aussi présent que le QI d’une palourde suffiraient.

Puis tu as grandi. Tu as poussé avec cette image biaisée de la famille, ta conception de normalité. Pas de contact, pas de conversation, juste des règles, des ordres, des rappels.
Et tu te croyais normal ? Enfant naïve. Pauvre gourde, si seulement tu savais…
Pour apprendre, tu t'es mis à écouter, à observer, à récolter les moindres secrets. Comment ton père partait souvent en voyage… Comment ta mère pouvait être malade et clouée au lit tant de fois. Tu comprendras ses gémissements plus tard petite.
Et toi ? De façade, tu souris. Tu gardes la tête haute, droite, affirmée. Pourquoi ? Car ton nom est Wukong. Pourquoi ? Car ta mère te l’a dit, c’est tout.
Brave petite.

École, collège, lycée.
Il s’en est passé du temps. Tu as grandi, d’enfant, tu es passée à adolescente. Quelle période exquise. Princesse. C’est à ce moment-là que les gens ont commencé à t'appeler Origami.
Pourquoi ? Car tu envoyais les réponses aux contrôles sous forme de grue en papier. Tout simplement. Comment faisais-tu pour les obtenir ? C’est un secret, mais tes 10 doigts faisaient des merveilles sur internet.
Comme le jour ou ta propre mère t'a payé pour que tu brises le silence et que tu dises ce que tu savais sur les voyages de ton père.
Ce jour-là, tu as pris conscience de l’importance d’une information. En plus, tu étais douée de tes mains, douée avec la technologie. Qu’espérer de mieux ?
Rien.

Alors tu as commencé à apprendre les bases du vol digital. Pas assez pour faire des trucs énormes. Mais assez pour accéder aux bases de données. Là tu récupérais toutes les information avant de vendre ses dernières aux société de démarchage publicitaire. Aux enquêteurs, à la police qui te croyait indic. Aux cartels de mercenaires qui cherchaient de nouvelles cibles.
Tu as alors commencé la contrebande. L’échange de biens. Quoi de mieux qu’échanger une information contre un peu d’herbe et quelques pilules que tu échangeais ensuite contre de nouvelles informations.
Hors de question de toucher à ça, toi, tu étais clean.

Tu as rapidement quitté le système scolaire. Pariât. Tu n’aurais pas eu de longues études de toute façon à quoi bon s'acharner ?
Tu avais 18 ans princesse.

18 ans quand tu as décidé monter la grosse affaire de ta vie. On dit que les hommes et femmes se couchent plus facilement sur l'oreiller. Des secrets à demis mots. Susurrer entre deux baisés.
La prostitution. Tu devenais proxénète sous le couvert d’un travail avec papa. Tu gérais un empire basé sur la consommation. Comme ça, Jah’, tu as peu faire chanter pas mal de monde. Tu as récupéré des données bancaires, tu as été intrusive dans la vie des gens.
Ô Jah-Ne. Quand as-tu été brisé au point de sombrer dans cette douce folie. Cette caresse qui t'effleure un peu plus chaques jours.

Tu étais une reine dans le monde de la nuit, l’underground de Séoul. ‘’Étais’’ oui. Tu n’es pas resté longtemps sur ton trône. Un an ? Et demie peut être, mais pas plus. Aussi intelligente soit-tu. Tu es tombée.
Ce jour-là. Tu as tué quelqu’un. Tu as tué cette personne qui l'a dénoncé. Cette personne qui, tel un sociopathe te traquait comme une bête enragée. Tu as couru dans les rues n’est-ce pas ? Tu as eu peur aussi, sûrement pour la première fois de ta vie. Tu ne te sentais pas bien. Tu avais envie de vomir.
Princesse, fleur de Corée, t’es jambe n’ont pas suivit. Tu as fini au sol et alors que tu entends les sirènes au loin, tu te rends compte que son visage est à quelque centimètre du tien, qu’il caresse ta peau de porcelaine.
Qu’il entaille ton cou lentement, pas assez pour t'égorger, mais assez pour souffrir.
Tu lui as fait du mal, tu sais… C’est de bonne guerre.
Quand tu vois ce revolver à sa ceinture. Tu t’es saisi, tu retires le cran de sûreté, tu recules la pièce haute et finalement, tu tires. Une balle dans la tête sous le regard des policiers

Cette nuit là, tu n’as rien dit. Tu n’as pas pleuré, tu n’avais pas de droit, ce n’est pas la première fois.
Tu as été jugé pour une longue liste de méfait.
Criminelle.
Meurtrière.
Tu étais seul ce jour-là. Comme si tu n'existais pas. Ma petite luciole égarée dans les ténèbres. Ce jour-là, tu as pris conscience du pied de la solitude. Cette douce ennemie.

112 ans de Prison, c’est long. C’est pour ça que tu as accepté n’est-ce pas ? C’est pour ça que Revoltech est venu te récupérer au fond de ta cellule.
Ma douce. Reste-toi-même mais, Accepte. De toute façon. D’aussi loin que je me souvienne, tu n’as jamais eu le choix.
Tu es une Yuyong.